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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 10:10
François Coppé qui se croyait original et en avance pour avoir annoncer il y a quelques mois sa candidature à la candidature pour la présidence de la République en 2017 n'est désormais plus tout seul !
D'après le Figaro de ce jour, 18 juin anniversaire de l'Appel historique du général de Gaulle, le ministre- secrétaire général adjoint de l'UMP et le député-maire d'Evry candidat à de hautes fonctions au PS à rénover déjeunent  ensemble pour se parler de leurs ambitions ! Bien sur si la politique et les électeurs leur restent favorables et si Dieu leur prête vie.  Neuf ans c'est long, surtout dans notre monde moderne où tout va si vite !
Une bonne nouvelle, au moins,  l' région Ile de France serait bien représentée dans ce scrutin de 2017!....

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Le Figaro, le 18 juin 2008

Bertrand rencontre Valls

 

Le ministre du Travail a reçu à sa table Manuel Valls, député socialiste de l'Essonne. «Ce n'est pas parce que le PS est moribond aujourd'hui qu'il n'existe plus», confie Xavier Bertrand, qui se voit, comme son invité, en candidat à la présidentielle de 2017.
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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 00:52

Comprendre la vie politique de notre pays aujourd’hui n’est pas simple !

 

Il faut dire que nous gouvernants y mettent une certaine bonne volonté ! Après la saison des « couacs » voila celle « des  peut être ben que oui, ou alors peut être  ben que non »

Deux exemples.

Dans le cadre de la loi sur la modernisation des institutions ou suivant sur quel sujet on l’aborde dite aussi   la réforme de la constitution et plus particulièrement l’article 88.5, article par lequel le Président Chirac, qui avait soumis cette réforme constitutionnelle, obligeait les gouvernements à soumettre aux Français toutes nouvelles adhésions de nouveaux pays à l’Union Européenne par voix  du REFERENDUM. En réalité une ultime  barrière qui permettrait un jour au peuple de France de se prononcer sur l’entrée de la Turquie dans l’U.E .

Le gouvernement et la majorité UMP ont trouvé la solution non élégante et surtout très  vexatoire pour le Peuple turc ! Ne serait soumis à référendum que les pays peuplés  de plus de 5% de la population de l’U.E,   donc que la seule Turquie, vu qu’elle est seule à répondre à ce critère ! L’affaire n’est pas fini car le texte en discutions au Sénat semble devoir être modifié, nos sénateurs veulent retirer le référendum. Le  texte reviendra à l’Assemblée Nationale qui le finalisera avant d’aller  chercher auprès du Parlement qui se réunira à Versailles début juillet, sans les voix des députés CNI. .

 

Dans le second exemple il s’agit du retour de la France dans l’OTAN annoncé ce jour par le président Sazrkozy, mais pas complètement. Là il ne s’agirait que des armées conventionnelles, de Terre, de Mer et de l’Air.

 L’arme de dissuasion que nous avons en silos dans les pré-Alpes où dans nos sous – marins   atomiques qui sillonnent les mers restait elle sous le seul contrôle de la France ! Simple ! Prions qu’il n’y ait pas péril en la demeure car  cela demanderait une sacré et efficace coordination.

 

La Constitution de la V° République et le retrait de l’OTAN sous seul contrôle américain, la force de dissuasion sont parmi les grands héritages laissés par le Général de Gaulle. En cette veille de l’appel du 18 juin 1940, 68 ans déjà, le général un homme politique pragmatique doit malgré les évolutions normales du monde, malgré la modernité se retourner dans sa tombe ! Et dire que ce type d’actions sont menées  par des politiques qui ont l’audace  de vouloir se référer à lui !

 

La dernière avant de dormir !

Nicolas Sarkozy fut élu à la maire de Neuilly en battant Charles Pasqua de trois voix, ces trois voix étaient celles de trois élus CNI ! Le lancement d’une carrière !

Il y a quelques mois le président Sarkozy à l’Elysée, convole, avec Carla Bruni,  en juste noce et c’est le maire CNI du 8° arrondissement de Paris, mon ami François Lebel qui officie !

Enfin au cours de la cantonale de  Neuilly en mars dernier à la demande pressante de l’Elysée notre candidat est prié de façon plus ou moins élégante de se retirer pour permettre que Jean Sarkozy, 21 ans, six mois d’action politique,  soit élu dès le premier tour ! et tout va vite, le voilà depuis hier au soir élu à l’unanimité président du groupe UMP/NC du conseil général du 92 ! La guerre au « Devidjian » est ouverte, nous ne le défendrons pas,  il est assez sarcastique et virulent  pour assurer sa survie !

Cela pour dire que la famille Sarkozy père et fils devrait plutôt avoir un œil sinon reconnaissant pour le moins bienveillant vis-à-vis du CNI. !

Rassurez-vous ce n’est pas le cas bien au contraire.

 Nous ne nous en portons pas plus mal,  la totale indépendance retrouvée « bouste » les adhésions et nous a donné un coup de fouet.

Dès septembre nous lancerons une grande campagne nationale de communication en même temps que nous diffuserons notre projet politique pour les années à venir. Document qui sera suivi de près par le programme que nos listes défendrons  lors des élections européennes de juin 2009.

Nous compterons sur vous .

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17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 19:49
Radio Courtoisie
Mercredi 18 juin - 16h30 à 17h30
Annick du Roscoät sera l'invitée de Radio Courtoisie

Fréquences FM de Radio Courtoisie en Mhz :
Paris et Ile-de-France, 95,6 | Caen, 100,6 | Chartres, 104,5 | Cherbourg, 87,8 | Le Havre 101,1 | Le Mans, 98,8.
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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 18:27

Le rejet du traité de Lisbonne par l’Irlande, largement bénéficiaire des aides européennes après le non des pays Bas et de la France, constitue un nouveau coup de semonce adressé par le peuple à la technocratie européenne. Il souligne, désormais, le fossé béant qui s’est creusé entre les peuples et les Institutions de l’Europe.

 

« Plutôt que stigmatiser les Irlandais ou que déplorer le recours au référendum, le monde politique et les responsables des institutions européennes doivent s’interroger sur leurs propres responsabilités » déclare Stéphane BUFFETAUT, ancien député européen, membre du Comité économique et social européen et Président de la Fédération CNI des Yvelines.

 

« Si la construction européenne demeure l’une des plus grandes aventures politiques des dernières décennies, n’a-t-elle pas perdu son essence, ses objectifs et même son attrait ? L’incertitude sur les buts poursuivis, sur les valeurs défendues et la course non maîtrisée à l’élargissement ne peut que faire naître inquiétude, méfiance et rejet que nous déplorons tous aujourd’hui » ajoute-il.

 

« Il convient d’en finir avec la mauvaise conscience européenne, le dogmatisme du libre échange et de la concurrence à tout crin. L’harmonisation n’est-elle pas trop souvent synonyme d’uniformisation ? La naïveté de nos représentants dans les négociations commerciales vendue comme de la stratégie ? La prétention de porter les frontières de l’Europe aux confins du Moyen-Orient ne brouille-t-elle l’image de notre idéal européen ? » explique-t-il.

 

« Donner une réponse sincère, concrète et profonde aux doutes exprimés par les peuples constitue le défi que devront relever les chefs d'Etat et de gouvernement des Etats membres de l'Union s'ils veulent éviter de n'avoir à l'avenir comme unique choix que de laisser le peuple en dehors du processus. Ce qui conduirait inévitablement à l’échec » conclut-il.

 

Nous voulons une Union européenne fière de sa civilisation, ambitieuse dans ses projets, pragmatique dans son action, protectrice des intérêts légitimes de chacun, attentive à nos diversités, respectueuse des nations qui la composent et porteuse d’une belle idée, partagée par tous : l’Europe qui gagne.

 

Au travail Monsieur le Président !

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14 juin 2008 6 14 /06 /juin /2008 11:29

Réaction de C. Vanneste au NON irlandais au Traité de Lisbonne

Le 13 juin 2008

Irlande et vendredi 13…En juin 2005, j’avais fait campagne pour le « oui » lors du référendum français. Il s’agissait pour moi de permettre à l’Europe d’avancer dans sa construction politique. J’avais néanmoins émis d’importantes réserves quant à certains aspects de ce texte confus notamment quant à sa lourdeur et à sa complexité. Je n’ai jamais en ce qui me concerne adhéré à certaines dispositions tout à fait contestables de la Charte européenne des droits de l’Homme.

Aujourd’hui, en revanche, se pose un problème crucial : les élites, ou ceux qui prétendent appartenir a ces élites politiques, veulent continuer une œuvre qui est rejetée systématiquement par les peuples dès lors qu’on leur pose la question.

Ne pas en tenir compte et continuer un processus pourtant partout rejeté, c’est mettre le peuple entre parenthèse, c’est donc refuser la démocratie.

Sans doute objectera-t-on que les votes sont fondés sur de mauvaises raisons ; il serait plutôt préférable que les responsables politiques s’interrogent sur la méthode confuse et technocratique, soumise aux lobbys minoritaires qui les amène aujourd’hui à faire échouer une œuvre politique essentielle qui devrait davantage être fondée sur des valeurs spirituelles et sur une communication plus fervente.

L’Europe doit protéger or actuellement elle expose en imposant des mesures tatillonnes qui découragent la population.

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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 21:47

Les prises de position du Conseil National du CNI que s’est réuni samedi dernier, 7 juin, à Paris étaient prévisibles. Un conseil national ouvert par François Lebel maire CNI/UMP du 8° arrondissement de Paris auquel ont participé les deux députés CNI Messieurs Gilles Bourdouleix et Christian Vanneste.

Depuis quelques semaines les communiqués de presse du centre national et tout dernièrement  les prises de positions de nos députés, qui à  l’Assemblée Nationale ont voté non au projet de loi de modernisation de nos institutions et réforme de la constitution, en étaient des prémices visibles pour le  microcosme politique et les médias.

Ce ne sont pas les seules divergences politiques qui ont décidé le CNI à reprendre son entière indépendance vis-à-vis de l’UMP. Certes la proposition de réforme de la constitution et sa corollaire sur la Turquie, mais aussi le refus de l’abrogation des lois concernant tant les 35 heures que l’ISF, le refus du mariages et de l’adoption pour les couples homosexuels, le droit de vote des étrangers (hors Union européenne), la discrimination positive, etc... ont leurs parts dans nos décisions.

C’est aussi le manque de relation, de communication avec les dirigeants de l’UMP et tout particulièrement avec son secrétaire général, Patrick Devedjian.

Le protocole d’association signé en octobre 2002 entre Annick du Roscoät  présidente du CNI et Alain Juppé président de l’UMP établissait non seulement une association structurelle entre les deux partis mais aussi une reconnaissance mutuelle et instaurait une collaboration politique avec des échanges d’idées et des contacts quasi permanents. Dès le départ d’Alain Juppé plus rien ne fut comme avant ! Deux exemples : le premier,  il a fallu que le CNI présente un candidat à l’élection présidentielle de 2007 pour qu’un contact soit établi avec la présidence de l’UMP ! le second depuis l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la république, élection à laquelle nous avons pris notre part, tant sur le terrain que financièrement, les contacts sont redevenus inexistants. Sauf à la veille des cantonales de Neuilly, ou notre candidat fut prié, avec des promesses de normalisation des relations CNI /UMP,  de se retirer pour ne pas gêner une l'élection au premier tour du candidat UMP !
Une situation égémonique qui semble aussi  être de plus en plus mal supporter, d’après ce que je peux lire dans la presse  par d’autres entités politiques associées à l’UMP. Des entités qui elles, n’ont pas comme le CNI un statut de parti politique historique et ne sont pas demeurés statutairement indépendantes après la création de l’UMP.

Il est bon de rappeler que le CNI a été crée en 1949 pour réunir des femmes et des hommes élus dont l’ambition première était  de défendre des valeurs traditionnelles et essentielles et proposer des idées valorisantes pour la France et  son peuple, alors que souvent des entités qui se revendiquent partis politique, ont été crées par des élus, à seule fin de servir la carrière de leurs initiateurs.

 

C’est à l’unanimité absolue que l’ensemble des instances nationales du CNI, le bureau politique du 6 juin, le comité directeur puis le conseil national  du 7 juin ont voté le retour à la  totale indépendance de notre parti, tout en confirmant son ancrage dans la majorité présidentielle et en  laissant dans nos statut la possibilité à ceux qui le souhaitent d’adhérer individuellement  à l’UMP .

 

Cette indépendance retrouvée ne fut pas la seule décision de notre conseil national, celui- ci a aussi adopté à l’unanimité absolue, le projet politique que nous défendrons lors des prochaines échéances électorales et en particulier lors des élections européennes de juin 2009 et les régionales de 2010. Ce projet est débattu depuis plusieurs mois par l’ensemble des instances nationales, par les fédérations départementales et les diverses commissions. Il sera  édité et publié dès la rentrée de septembre, et mis en ligne sur le site  cni.asso.fr

Nous y présenterons nos valeurs et nos engagements.

Loin du politiquement correct, nous voulons avec celles et ceux qui nous rejoindrons prendre une part active à la construction d’une France libre, forte et indépendante, une France fière d’elle-même et de ses valeurs, enfin une France ouverte sur le monde et tournée vers l’avenir.

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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 17:00

FRS0000 4 P 0329 FRA /AFP-LP44-partis-CNI-UMP

Origine : France

Le CNI reprend son "entière indépendance" par rapport à l'UMP

Paris, 7 juin 2008 (AFP) - Le petit parti de droite CNI (Centre national des

indépendants et paysans" a annoncé samedi qu'il reprenait son "entière indépendance

d'action" vis-à-vis de l'UMP, auquel il était associé, en raison "de l'absence de

dialogue avec la direction" du parti majoritaire.

"Cette indépendance permettra (au CNI) de préparer et de présenter librement des

listes et des candidats aux différentes élections", indique le texte d'une motion votée

samedi par le conseil national du parti et rendu publique.

Dans un communiqué, le CNI a mis en avant des "divergences fortes" entre le CNI et

l'UMP sur des sujets tels "la réforme des institutions, la suppression de l'ISF, le droit

de vote des étrangers, l'homoparentalité".

Dans un point presse samedi, la présidente du CNI Annick du Roscoat, les deux

députés UMP/CNI Christian Vanneste et Gilles Bourdouleix, et le maire du VIIIème

arrondissement de Paris François Lebel, ont aussi critiqué le fonctionnement interne

de l'UMP et le rôle de son secrétaire général, Patrick Devedjian.

"Le secrétaire général n'écoute rien et n'a aucun respect pour les formations

associées", a déclaré Mme du Roscoat.

"Ce qui vicie le système c'est que l'UMP n'a plus de président, et n'a plus l'autorité

nécessaire pour s'exprimer. M. Devedjian est le porte-parole de M. Sarkozy", a

déclaré Gilles Bourdouleix.

"Il faut que l'UMP se rende compte que s'il veut être un grand vecteur de la droite, il

doit accueillir des courants d'idées différents ou complémentaires" par rapport au

président de la République, a estimé pour sa part Christian Vanneste.

Le CNI, auquel ont jadis appartenu des figures de la vie politique française comme

Antoine Pinay ou Valéry Giscard d'Estaing, revendique quelque 4.000 membres.

Une toute petite minorité (moins de 400, selon Mme du Roscoat) ont la double

appartenance au CNI et à l'UMP. Ce sont principalement des élus, qui pourront

conserver leur double appartenance, a-t-elle ajouté.

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7 juin 2008 6 07 /06 /juin /2008 17:59

LE CNI REPREND SON INDEPENDANCE

 

 

Le CNI a réuni, ce samedi 7 juin, son Conseil National à Paris. Il avait pour objectif de tracer les grandes lignes des actions à venir mais également d’analyser et tirer les conséquences de son association avec l’UMP.

 

Le Conseil National a défini et adopté son projet politique qui sera le fil conducteur des élections à venir. Les Indépendants défendent ardemment une politique économique, sociale et fiscale rénovée afin de garantir la pleine réussite de la France dans un monde aujourd’hui en complète mutation. Face à la concurrence mondiale, le CNI souhaite que les Français, par des réformes courageuses et ambitieuses, se donnent les moyens de faire que la France demeure une Nation de premier plan.

 

Pour prendre toute sa place dans le débat national et pour jouer pleinement son rôle au sein de la majorité présidentielle, le Conseil National du CNI a décidé, qu’au terme de cinq années d’association avec l’UMP, il lui fallait reprendre pleinement son indépendance.

 

« Depuis quelques mois, les liens se sont distendus entre le CNI et l’UMP. Des divergences fortes avec nos valeurs telles que, notamment, la réforme des institutions, la suppression de l’ISF, le droit de vote des étrangers, l’homoparentalité, la discrimination positive, l’adhésion de la Turquie à l’UE ou encore l’ouverture à gauche marquent désormais un clivage net entre nos deux formations politiques. Nous ne nous reconnaissons plus dans ce partenariat. L’UMP, parti omnipotent, ne peut plus, désormais, prétendre seul représenter la droite » déclare la Présidente du CNI, Annick du Roscoät.

 

« Les Indépendants estiment qu’il est grand temps qu’émerge, de nos rangs, une force politique alternative à l’UMP. Une force capable de proposer les réformes nécessaires à la mise en forme de la compétitivité de notre pays tout en respectant notre histoire, nos valeurs et notre âme. » ajoute-elle.

 

« Mouvement toujours tourné vers l’action, nous restons membre de la majorité présidentielle. Mais nous n’avons pas vocation à jouer les supplétifs. C’est le sens qu’a donné notre Conseil National en décidant, à une écrasante majorité, de reprendre son entière indépendance vis-à-vis de l’UMP » conclut-elle.

 

Dans cet esprit, le Conseil National a décidé de présenter ses propres listes aux élections européennes. Nous y défendrons, sous nos couleurs, entre les « euro-béats » et les « euros-sceptiques », une vision efficace solidaire et pragmatique de l’Europe afin de bâtir avec cette « Nouvelle Droite » que nous incarnons, l’Europe que nous appelons de nos vœux : l’Europe qui gagne !

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4 juin 2008 3 04 /06 /juin /2008 12:13

Le Conseil National du CNI qui se tiendra le 7 juin prochain à la Maison des Centraliens pourrait envisager la rupture avec son partenaire.

 

Lors de son Conseil National le CNI tracera les grandes lignes des actions à venir et fera le bilan de son association avec l’UMP. A cet égard, le CNI pourrait décider de prendre ses distances avec l’UMP.

 

Désireux de prendre toute sa place dans le débat national et de jouer en toute indépendance son rôle au sein de la majorité présidentielle, le Conseil National du CNI, sous l’égide de sa Présidente Annick du ROSCOÄT, arrêtera, samedi 7 juin prochain, les grandes ligne de son projet politique qui lui, tiendra lieu de fil conducteur pour les élections à venir.

 

Au cours de ce même conseil, il sera proposé à ses membres d’adopter un plan d’action et de communication ambitieux pour la suite de la législature.

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3 juin 2008 2 03 /06 /juin /2008 18:49
 

LE NON DU CNI A LA REFORME DES INSTITUTIONS 

 

Le Porte-Parole et Député-Maire du CNI, Gilles Bourdouleix, tout comme le député CNI, Christian Vanneste, votera contre le projet de loi constitutionnel relatif à la Modernisation des Institutions.

 

« J'étais favorable à une vraie réforme des institutions. Mais ce texte constitue davantage une réformette qu'un rééquilibrage institutionnel. Le quinquennat a déséquilibré nos institutions et a induit inévitablement un régime semi-présidentiel. Pourquoi ne pas en prendre acte ?

« Quant à la possibilité pour le Président de la République de s'exprimer devant le Congrès, nous sommes, au CNI, opposés car le Président de la République conserve son droit de dissolution. La revalorisation des pouvoirs du Parlement peut très bien être assurée par une lecture différente de la Constitution de 1958 » déclare le Porte-parole et député-maire de Cholet CNI.

 

« Il n’y a pas eu d’avancées significatives et l'on multiplie des bricolages sur le texte fondamental. On est en train de détruire la Constitution en ajoutant de petits « bidules » insignifiants... avec, par exemple le fameux article 33, modifiant l'article 88-5. Au CNI, nous pensons qu'il est indispensable de maintenir l'article 88-5 et de rendre obligatoire le recours au référendum pour toute nouvelle adhésion à l' UE. Il faudrait enfin avoir le courage de parler avec la Turquie et de lui dire non. La Turquie n' est pas dans l' Europe. Le peuple a été consulté en 2005. Il est inutile d'y revenir. » ajoute-il.

 

« La réforme de la constitution méritait un vrai débat et un toilettage de fond et non des modifications plus ou moins opportunes.

Pour toutes ces raisons, je ne voterai pas la réforme constitutionnelle » conclut-il.

Communiqué du Mardi 3 juin 2008

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