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5 juillet 2008 6 05 /07 /juillet /2008 15:47
 
Un article découvert sur le Net, diffusé par l'association "Voix des Français" 

Sur cette photo prise lors du Conseil National du CNI le 7 Juin dernier, vous avez de gauche à droite : votre serviteur, Christian Vanneste député CNI du Nord, François Lebel maire CNI du 8° arrondissement de Paris, Annick du Roscoät présidente du CNI, Gilles Bourdouleix député-maire CNI de Cholet
et Bruno North président du CNI Paris

Gilles Bourdouleix et Christian Vanneste
.
Le député du Maine-et-Loire et celui du Nord, tous deux engagés au Centre National des Indépendants et Paysans (CNI), se sont fermement opposés au droit de vote des étrangers initialement prévu par le projet de loi constitutionnelle de modernisation des institutions.

Pour Gilles Bourdouleix : « La motivation du CNI pour s’y opposer est parfaitement logique : un étranger… n’est pas un citoyen français ! Etre citoyen français, c’est avoir la nationalité : elle n’est pas impossible à obtenir. Si on ne l’a pas, c’est que l’on souhaite rester étranger, ce qui est honorable, mais cela signifie que l’on rentrera dans son pays à plus ou moins long terme. Donc cela exclut le droit de participer à notre vie politique. J’ajoute que cela ne pourrait, au mieux, s’envisager que dans le cadre d’une réciprocité avec les pays de nos ressortissants étrangers. Mais ce n’est pas franchement pour demain ! »

Christian Vanneste raconte la bataille à l’Assemblée nationale : « J’ai, une fois de plus, insisté pour m’opposer au contresens démocratique du vote des étrangers, m’appuyant sur le fait que la démocratie est fondée sur le droit de vote des citoyens c’est-àdire ceux qui appartiennent à la Cité et, aujourd’hui, à la Nation. (...) Le lien constamment fait par les socialistes entre la présence [sur le territoire] et l’implication économique avec la citoyenneté, est non seulement un contresens mais encore une injure aux valeurs de la République, puisqu’elle remplace une adhésion volontaire à des valeurs par une insertion de fait dans un système de production et d’échange économique. D’une certaine manière, c’est un retour au suffrage censitaire qui faisait reposer le droit de vote sur l’imposition… »

 

       

 

 

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5 juillet 2008 6 05 /07 /juillet /2008 00:34

Ingrid Bétancourt ou la mort définitive du Che..!

Le 3 juillet 2008

alvaro-uribe-sur-perron-elysee-nicolas-sarkozy-janvier-2008-2463564_224.jpgGrande nouvelle hier soir avec l’annonce de la libération d’Ingrid BETANCOURT. Beaucoup d’émotion et de joie autour de cette femme rayonnante de sa liberté retrouvée et de sa famille.

Mais au-delà de ces images, et de la surface médiatique, saturée d’affectivité, il faut rester lucide.

D’abord, il faut remarquer le décalage entre les images de Bogota et celles de Paris. A Bogota, c’est le triomphe d’Alvaro URIBE, président légitime de la Colombie, dont le père a été assassiné par les Farc, et qui a choisi de combattre les ennemis de la démocratie avec fermeté et intelligence. La communion des responsables politiques et militaires, empreinte à la fois de foi religieuse et de fierté patriotique faisait plaisir à voir. A Paris, une satisfaction générale, avec à la fois les paroles mesurées, objectives du Président SARKOZY, mais aussi les déclarations elliptiques de tous ceux qui hier n’hésitaient pas à critiquer le Président colombien et à lui reprocher de ne pas négocier avec les terroristes, et qui aujourd’hui semblent expliquer la libération par leur mobilisation tapageuse plutôt que par l’opération militaire astucieuse qui en est la véritable cause. CHANTECLER pense toujours faire lever le soleil.

Les enfants d’Ingrid BETANCOURT remercient le Président français mais oublient le Président URIBE, et l’ineffable Christophe BARBIER invite Monsieur DELANOE qui les mains jointes jure ses grands dieux qu’il ne se livrera à aucune récupération. CHANTECLER lance son cocorico sur le parvis de l’Hotel de Ville.

C’est aussi la démonstration évidente de l’indigence de la bien-pensance “people” qui domine le monde médiatique français. J’ai même entendu un journaliste dire que, finalement et aux dernières nouvelles, URIBE était un Président élu et d’ailleurs social-démocrate. Il est un peu difficile d’avouer que le méchant URIBE, un homme de droite qui ne voulait pas négocier avec les si romantiques tortionnaires héritiers du Che a gagné contre leur héros, le gentil CHAVEZ qui s’est révélé être un personnage mussolinien, théâtral, et tout-à-fait inefficace, par ailleurs complice évident de la dictature castriste et des Farc.

C’est enfin pour moi un petit bonheur personnel de constater que le point de vue que j’avais défendu ici-même (note du 6 janvier et du 9 avril 2008) s’est vérifié tandis que se lézardait progressivement le tableau de la Colombie présenté dans nos media nationaux.

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5 juillet 2008 6 05 /07 /juillet /2008 00:10


Le CNI se félicite de la sage position adoptée par la commission des lois de l’Assemblée Nationale qui vise le maintien de l'article 88 alinéa 5 de la Constitution tel qu'introduit dans la loi constitutionnelle en 2005.

« Je me réjouis que mes collègues parlementaires de la majorité présidentielle, à laquelle j’appartiens, ont retrouvé la voix de la raison en rétablissant, comme je le préconisais, le référendum pour les nouvelles adhésions à l’Union Européenne. Les Français doivent se prononcer et avoir le dernier mot quant à la question cruciale de l’adhésion de la Turquie à l’Union Européenne.

Cruciale en effet, puisque ne partageant ni notre histoire, ni notre civilisation, pas plus qu’elle n’adhère au projet politique de l’UE, la Turquie n’a pas vocation à entrer dans l’Union Européenne. L’UE doit ainsi avoir le courage de dire "non" à la Turquie mais sans vexer le peuple Turc », indique le Porte-parole du CNI et député-maire de Cholet, Gilles Bourdouleix.

« Cependant, il convient de cesser toute hypocrisie. Le pouvoir exécutif nous propose un bricolage de la Constitution qui sonne le glas de l’esprit de 1958 et risque de fragiliser un texte qui a fait ses preuves. C’est la raison pour laquelle, je maintiens mon opposition à la réforme institutionnelle » conclut-il.

Communiqué du 3 juillet 2008
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5 juillet 2008 6 05 /07 /juillet /2008 00:05

Le CNI se réjouit de la libération d’Ingrid Betancourt et salue la forte détermination de Jacques Chirac et du Président Sarkozy qui ont œuvré pour sa libération.

« La libération d’Ingrid Betancourt, des trois otages américains et des militaires colombiens qui étaient retenus en otages par les FARC est une immense satisfaction et un grand soulagement.»

Ce succès est bien sûr du à l’action du Président URIBE, malgré les fortes réticences des uns et des autres, à la maîtrise de l’armée Colombienne mais ce succès est également le fruit de la mobilisation sans relâche des familles d’otages, des démocraties et des peuples qui n’acceptent pas la dictature de la violence. Cette nouvelle donne est un formidable signe d’espoir pour l’avenir » déclare le Secrétaire Général du CNI, Bernard BEAUDET.

« Pour autant, la France doit-elle accueillir sur son sol les guerillos repentis des Farc qui sont, en réalité, des terroristes ? La réponse est NON. Les forces armées révolutionnaires de Colombie figurent sur la liste internationale des organisations terroristes Elles ont commis des milliers d’enlèvements et d'assassinats et ce groupe continue, sans vergogne, ses activités terroristes et  ses trafics de drogue. Le CNI s’opposera fermement à un tel accueil et ce même dans les prisons de la République » conclut-il.

Communiqué du 3 juillet 2008

 

 

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30 juin 2008 1 30 /06 /juin /2008 18:13

Un conseiller général-maire CNI de Savoie m’a adressé un article paru dans le Figaro sous le titre « Ce qu’a coûté la démocratie en 2007 ». Je ne reviendrai pas sur les 44 millions d’Euros qui ont été donné aux 12 candidats à la présidentielle pour un coût global de l’élection 205 millions (prix des législatives 148 millions) mais sur les suites.

 

La loi prévoit deux sources officielles de financement par l’état des partis politiques : en versant  environ 1 € 60 par voix obtenues au premier tour des législatives (ce chaque année de la mandature, que le député reste ou quitte le parti qui l’a investi) et chaque année de la mandature une dotation de 45.000 € que le parlementaire attribue chaque année au mois de novembre au parti qu’il souhaite aider. Pour cela il fallait en 2007 avoir eu 50 candidats ayant obtenu au moins 1%  des voix dans 50 circonscriptions. Le parti « le Nouveau centre » qui n’existait pas juridiquement à l’époque, comme le CNI n’a pas eu ces 50 candidats avec 1% . Donc eux et nous n’avons légalement plus accès au financement d’état. Et bien cela est vrai pour le CNI qui a deux députés et 4 sénateurs, mais pas pour le Nouveau Centre qui a, à postériori, rejoint un tout petit parti « le Fetia Api» en Polynésie,  dont l’unique candidat a obtenu 512 voix à cette même élection! ( les 51 candidats CNI ont obtenus plus de 200.000.

voix !)  profitant, toujours à postériori, de la loi qui autorise tout élu des départements ou territoires d’outre-mer de bénéficier, à titre individuel pour le financement,  du statut de parti politique !

 

Grâce à ce stratagème le Nouveau Centre va percevoir, chacune des 5 années de cette législature, la coquette somme d’environ 1 million d’Euros ! Alors que le CNI  regarde passer le train !

 

Un bel exemple de démocratie et de considération des françaises et français qui avec leurs parlementaires participent activement à la vie publique de notre pays !

 

Au CNI nous avons des valeurs et des idées, donc nous devons laisser la place à l’hégémonie de certains et la rouerie d’autres.

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27 juin 2008 5 27 /06 /juin /2008 00:26

Décidément l’actualité présidentielle reste marquée par des annonces qui ne laissent que peu d’observateurs, et même de français, indifférents !

 

Hier ce fut le tour de l’audiovisuelle, le président sans vergogne bouscula Jean-François Copé député-maire de Meaux mais aussi par la grâce présidentielle rapporteur du projet de réforme de l’audio-visuelle publique ! JF C s’est vu ramené au niveau de l’élève qui a mal réalisé sa dissertation, et a vu ses propositions et arguments  repoussés. Le professeur avait décidé que c’était lui qui allait faire le travail ! Il l’avait déjà laissé entendre, car sans attendre les propositions de la commission Copé il avait, entre autre, déjà annoncé la suppression de la publicité sur les chaînes publiques ! Ce qui avait motivé les retrait des socialistes de la commission, parmi eux le ministrable de l’ouverture de la fin de l’année 2007, le grand Jack, Jacques Lang ! Supprimer la publicité n’est pas du goût de tous comment pourra-t-on au milieu du film pour aller faire son pipi d’ange, chercher son biscuit à grignoter ou sa petite mousse, sans ne rien manquer du film ? Attention l’habitude est une seconde nature ! Certes ce qui réconforte c’est que l’on pourra suivre des sports plus populaires que le foot-ball, : la pelote basque, le golf, la voile, l’équitation par exemple, enfin des sports à la portée de tous !

 

Que nous réserve cette réforme ? Dans un premier temps le retour à notre vielle ORTF des années 60 avec une direction désignée par l’exécutif, en clair dans le système en vigueur, par le chef de l’état soi-même! Seulement nous ne sommes plus au cœur des trente glorieuses et le Général de Gaulle, on peut le regretter,  n’est plus à l’Elysée et  les temps ont changés ! On peut le regretter, mais il faut vivre avec son temps et je suis sur que si le général était là l’information aurait évoluée avec son temps car il était pragmatique,  mais certainement pas dans cet irrespect des personnes  et ce mélange des genres.

 

En janvier dernier, à l’annonce de la nomination de cette commission Copé j’avais publié un blog sur le sujet, vous pouvez le retrouver, il est toujours présent sur mon blog, sous le titre L'audiovisuel public ...vers quelle usine à gaz ? 19 janvier 2007 page 2

 

Je n’ai rien à y retirer et je reste persuadé que l’on va vers le même final, c’est à dire une impossibilité de financer l’ensemble du service public par des taxes de gauche et de droite, c’est une image ! et le montage  d’une nouvelle usine à gaz qui se finira en fiasco financier et entraînera  la cession de la chaîne France 2 au privé à un prix beaucoup plus bas que ce qu’elle vaut aujourd’hui.

 

Faire financer les chaînes publiques par des taxes sur internet ou tout autre outil de la «  com « moderne n’est pas très libéral, car tous les utilisateurs du téléphone portable ou d’internet, par exemple,  ne regarde pas obligatoirement  les chaînes publiques dont  ils sont déjà obligés de payer la taxe TV ! 

 

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25 juin 2008 3 25 /06 /juin /2008 16:58
 

 
Alors que la France s’apprête à prendre la Présidence de l’Union Européenne, nos dirigeants feraient bien de se rappeler que dans la compétition internationale féroce, que crée la mondialisation, les premiers seront ceux qui auront les meilleures conditions fiscales d’accueil.

 

Ne pas organiser ces conditions, lorsque l’on dispose de tous les pouvoirs pour le faire, serait une faute de la part de nos dirigeants. La suppression de l’ISF est dans ce contexte une mesure de salut public. Il faut sortir de cette galère !

 

« En obtenant la nationalité monégasque au détriment de la nationalité française Alain DUCASSE, le champion toute catégorie de notre gastronomie enterre le bouclier fiscal et ses mesurettes qui n’étaient qu’autant de lignes MAGINOT qui ont volé en éclats devant un tel bras d’honneur» déclare la Présidente du CNI, Annick du ROSCOÄT.

 

« L’ISF est une hérésie économique dont la France est le dernier bastion. La crispation idéologique autour de cet impôt est une folie dont nous n’avons pas les moyens. Son maintien, chez nous, s’apparente davantage à une lutte des classes surannées qu’à toute autre considération» explique-t-elle

 

« Stoppons l’hémorragie, arrêtons de financer la croissance des autres Etats et incitons les Français expatriés à rentrer au bercail en abolissant l’ISF. Sa suppression serait une bouffée d’oxygène tant pour la croissance que pour l’emploi. » Conclut-elle

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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 15:40



Les Indépendants
défendent ardemment une politique économique, sociale et fiscale rénovée afin de garantir la pleine réussite de la France dans un monde aujourd’hui en complète mutation. Face à la concurrence mondiale, le CNI souhaite que les Français, par des réformes courageuses et ambitieuses, se donnent les moyens de faire que la France demeure une Nation de premier plan.

Le CNI incarne la proximité et offre aux Françaises et aux Français la liberté d’expression d’une droite ferme et de conviction.

Suppression de l’ISF, refus du droit de vote aux étrangers, opposition à l’homoparentalité, veto à l’adhésion de la Turquie à l’UE ou encore ouverture à gauche telles sont notamment nos divergences avec l’UMP.

Appartenir à la majorité présidentielle, c’est partager une certaine vision de la France et de son avenir. Mais cela ne signifie pas nous devons obéir aveuglement...

Le CNI appelle tous les français partageant cette vision et ces objectifs à le rejoindre dès aujourd’hui pour créer cette nouvelle force.

Le CNI est un parti libre et restera Indépendant.

 

CNI – 6 RUE QUENTIN BAUCHART – 75 008 PARIS - contact@cni.asso.fr

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20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 00:06

Quand Nadine Morano manque une bonne occasion de se taire…

Le 19 juin 2008

Nicolas Sarkozy a été élu clairement à droite, et disons le franchement, par la droite populaire qui se reconnaît dans les valeurs de l’identité nationale, de l’ordre républicain, et de la famille.

Le soir de son élection, il retrouvait ses amis people, mondialisés à l’extrême, libertaires par snobisme (et sans doute par facilité bancaire !). Le lendemain, il nommait des Ministres socialistes en éveillant chez Devedjan une frustration qui s’exprimait de façon humoristique par la réclamation d’une ouverture allant jusqu’aux sarkozystes…

On aurait pu penser que les sarkozystes étaient surtout ceux qui incarnaient les valeurs citées plus haut et que le peuple avait plébiscitées. Que nenni !

Dans une deuxième vague, on a eu droit aux sarkozystes, c’est-à-dire les béni-oui-oui de la cléricature médiatique, du politiquement correct, du plus-progressiste-que-moi-tu-meurs, bref, ceux qui pensent que la droite a sans doute raison économiquement mais pas toujours, et que sur le plan des valeurs sociales elle doit cesser d’être ringarde et n’avoir pour but que de dépasser la gauche dans son souhait de détruire systématiquement toutes les valeurs fondamentales de notre société, à commencer par la famille, vieille lune qui n’a désormais de sens qu’au pluriel.

Qu’une telle opinion soit destructrice dans des domaines aussi divers que l’éducation, la délinquance, l’emploi, le logement, tant il est vrai que le noyau familial stable est le seul qui puisse offrir à des niveaux de revenu modeste ou moyen, la continuité et la solidarité propres à assurer une formation solide, une intégration sociale efficace et des conditions de logement idéales, échappe totalement à la réflexion de ces créatures des média.

Madame Morano, puisqu’il s’agit d’elle, aurait mieux fait de se taire, plutôt que de suivre Monsieur Delanoë dans un réflexe panurgique.

Voilà que “notre” Secrétaire d’Etat à la Famille souhaite que les Pacs soient célébrés en mairie. S’il est légitime que les mariages, qui fondent une famille, et assurent ainsi la continuité de la République et de ses valeurs, soient célébrés en mairie, il est irresponsable que des contrats éphémères, censés officialiser des relations sentimentales de nature privée et qui ne devraient en rien concerner l’Etat (quand ils ne sont pas destinés à garantir l’obtention d’avantages dévolus “aux couples” comme les mutations) puissent bénéficier d’une même reconnaissance sociale.

Pour faire plaisir à une minorité caressée par les media, on torpille le symbole même de la constitution d’une Famille après avoir affaibli sa réalité. Le nombre des Pacs augmente (plus de 100 000 en 2007… à 93% hétérosexuels…). Celui des mariages diminue, et il faut que le Ministre chargé de la Famille ignorant cette évolution catastrophique, ce détricotage suicidaire de notre société, en vienne à nier la différence symbolique forte entre les premiers et les seconds, comme si cette différence n’exprimait pas l’océan qui sépare ceux qui ont la volonté de fonder l’avenir de leur famille et de notre Nation, de ceux qui n’entendent que manifester des sentiments, qui pour être plus ou moins sympathiques, n’intéressent qu’eux-mêmes.

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19 juin 2008 4 19 /06 /juin /2008 00:20
Après le hold up de Jean Sarkozy sur la présidence du groupe UMP du Conseil Général des Hauts de Seine, certainement dans une amicale sérénité au sein de ce groupe composé de soldats aguerris de la démocratie surtout quand l'on connait ce qu'entraîne la présidence d'un groupe quand il est  majoritaire !  le Figaro du 18 juin nous livre une nouvelle qui peut interpelé de façon un peu particulière ceux qui ont bien écouté les discours de campagne sur les nomminations en fonction des compétences!  La demi-soeur de Carla Bruni - Sarkozy, diplomate "stagiare" auprès de la présidence de la république ! Elle est peut être compétante, ce serait mieux, mais c'est la demi-soeur de l'épouse du Président !


Le Figaro de mercredi 18 juin 2008
......

Confidentiel : la demi-soeur de Carla Bruni diplomate à l'Élysée

La cellule diplomatique de l'Élysée, dirigée par Jean-David Levitte, compte depuis quelques semaines une nouvelle recrue. Il s'agit de Consuelo Remmert, demi-sœur de Carla Bruni et fille de Mauricio Remmert, père de l'épouse du président de la République. Polyglotte, elle est encore stagiaire non rémunérée. Elle est présentée comme une spécialiste des questions de la faim dans le monde. Avant de rejoindre l'Élysée, où elle a préparé le sommet de la FAO, elle a rédigé des articles pour la revue Internet des Nations unies. ..........

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