Un article découvert sur le Net, diffusé par l'association "Voix des Français" | |||
Sur cette photo prise lors du Conseil National du CNI le 7 Juin dernier, vous avez de gauche à droite : votre serviteur, Christian Vanneste député CNI du Nord, François Lebel maire CNI du 8° arrondissement de Paris, Annick du Roscoät présidente du CNI, Gilles Bourdouleix député-maire CNI de Cholet Pour Gilles Bourdouleix : « La motivation du CNI pour s’y opposer est parfaitement logique : un étranger… n’est pas un citoyen français ! Etre citoyen français, c’est avoir la nationalité : elle n’est pas impossible à obtenir. Si on ne l’a pas, c’est que l’on souhaite rester étranger, ce qui est honorable, mais cela signifie que l’on rentrera dans son pays à plus ou moins long terme. Donc cela exclut le droit de participer à notre vie politique. J’ajoute que cela ne pourrait, au mieux, s’envisager que dans le cadre d’une réciprocité avec les pays de nos ressortissants étrangers. Mais ce n’est pas franchement pour demain ! » Christian Vanneste raconte la bataille à l’Assemblée nationale : « J’ai, une fois de plus, insisté pour m’opposer au contresens démocratique du vote des étrangers, m’appuyant sur le fait que la démocratie est fondée sur le droit de vote des citoyens c’est-àdire ceux qui appartiennent à la Cité et, aujourd’hui, à la Nation. (...) Le lien constamment fait par les socialistes entre la présence [sur le territoire] et l’implication économique avec la citoyenneté, est non seulement un contresens mais encore une injure aux valeurs de la République, puisqu’elle remplace une adhésion volontaire à des valeurs par une insertion de fait dans un système de production et d’échange économique. D’une certaine manière, c’est un retour au suffrage censitaire qui faisait reposer le droit de vote sur l’imposition… » |
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