Lu sur le site de Christaian Vanneste, il y longtemps que je ne lui avais pas donné la parole sur mon blog ! Et bien voila tout arrive à qui sait patienter ! Il faut dire qu'avec son collègue Jacques Myard, ils sont les députés les plus prolixes quand il sagit de défendre notre pays, son peuple, sa civilisation, son histoire sans omettre pour autant son avenir. Ils sont aussi peut être ceux, qui à l'assemblée se font le plus entendre! allez savoir ! Donc voici une lettre que Bernard Carayon, député du Tarn si ma mémoire est bonne, adresse à monsieur Frédérique Mitterraand ministre de la culture (sic), un courrier cosigné par 12 de ses collègues. J'espère que cette liste de 12 n'est pas exhaustive ! et que c'est l'urgence de l'envoi qui n'a pas permis plus de signatures !
BB.
« Nique la France » : légitime indignation de députés qui l’aiment Posted: 19 Nov 2010 12:29 AM PST Suite à la publication de l’ouvrage de Saïd Bouamama intitulé « Nique la France » (sic), alertés par de nombreux citoyens choqués, et à la suite de notre collègue Bernard Carayon, nous avons décidé de réagir en soumettant la question écrite suivante au Ministre de la Culture et de la Communication :
M. le député appelle l’attention et de M. le Ministre de la Culture et de la Commission sur les avatars que rencontre la liberté d’expression dans notre pays. Celle-ci ne connaît pas de limites, puisqu’elle autorise la publication régulière des critiques les plus outrées à l’encontre, en particulier, de la personnalité du Président de la République. Elle autorise aussi la publication d’ouvrages, à l’instar de celui de Saïd Bouamama, intitulé poétiquement « Nique la France ». Nul n’ignore plus ce que signifie l’expression populaire, et à tout le moins vulgaire, de « niquer. » Cette expression lui apparaît-il de nature à faire progresser la paix et la cohésion sociales dans notre pays, ainsi que les relations entre les Français et ceux qui, installés dans notre pays, ne le sont pas? Il lui demande enfin s’il lui apparaîtrait opportun que des écrivains français publient, à titre d’exemple en Algérie, un ouvrage s’inspirant avec délicatesse du titre choisi par Saïd Bouamama mais intitulé, cette fois, « Nique l’Algérie » ? Il lui demande de bien vouloir lui préciser le sens qu’il donne, à l’aune de cette publication provocante, à la liberté d’expression.
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